dimanche 3 janvier 2010

Zaz Zetoun Mind - Anss'hyy Nibakan

Une vidéo de Zaz Zetoun Mind
augmenté d'un texte de Elisabeth Vaury
que je remercie...


L'annuaire des cycles ovariens
Remplit les pages des tabloïds
Où les princesses  royal canin
Jouent avec leurs éphémérides
pour visionner ses rois devenus chiens
ils  mettent  des mots sur leur silence
Pour être sûr d'avoir raison
Surtout pas troubler vos consciences
Dans le vertige des vibrations
Mais le vent tourne et le temps passe
Enfin tranquille et sans rancune
Moi je vois s'éloigner les rapaces
J'ai découverte la solitude
Le jour de ma fécondation
Bien que j'en aie pris l'habitude
J'attends l'heure de ma rédemption.
© Elisabeth Vaury
http://pastelise.blog4ever.com

4 commentaires:

  1. La coopération est toujours aussi vivante ! Merci pour le texte et les images !

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  2. jreponds ic jme reppelle plus comment répondre sur le mien

    (y en aura d'autres l'année 2O10 va dure pour celui ou celles qui scachent toujours derrière des banalités a crever d'ennui
    rappellez moi combien d'années tout le monde blènodent sur des pauvres mots idées envies (pour peu qses mots idées envies deviennent ACTION un jour le pied non !!ceci n'est pas une question )
    et j'espère ce jour là être devant ce troupeau dterriens

    jamais sue dire merci a contrario je sais dire pardon alors pardon a vous et cerkita de ne pas savoir dire merci A bientot
    Elisabeth Vaury

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  3. j'ai mise mon temps pour dans deux ou trois pages , pour déposer ceci ici
    ___________________________________________________________
    histoire d'une vie au centre des Abîmes
    _________________________________________
    Lui sous la pluie
    D'un hivers sans voie
    Lui qui poursuit
    Son puzzle déglingué
    Lui dans sa nuit
    Lui qui détruit
    Son ombre inachevée

    voudrait voir une seule fois le soleil rejoindre la lune

    mais c'est perdu
    Sous le joug des terriens

    Réservés aux pingouins .

    A la marée sans Lune
    En venant féconder
    Le ventre des lagunes
    et ses corps écorchés
    S'immolaient aux vagues blessées
    A la marée sans Lune

    Sous les embruns glacés
    D'une chambre fréquenter
    par les miroirs autochtones

    lui reste et survis
    Sans doute par élégance
    Peut-être par courtoisie
    D'ivresse en arrogance

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  4. Merci Elisabeth, ce poème trouve parfaitement sa place ici !

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