Une vidéo de Zaz Zetoun Mind
augmenté d'un texte de Elisabeth Vaury
que je remercie...
L'annuaire des cycles ovariens
Remplit les pages des tabloïds
Où les princesses royal canin
Jouent avec leurs éphémérides
pour visionner ses rois devenus chiens
ils mettent des mots sur leur silence
Pour être sûr d'avoir raison
Surtout pas troubler vos consciences
Dans le vertige des vibrations
Mais le vent tourne et le temps passe
Enfin tranquille et sans rancune
Moi je vois s'éloigner les rapaces
J'ai découverte la solitude
Le jour de ma fécondation
Bien que j'en aie pris l'habitude
J'attends l'heure de ma rédemption.
© Elisabeth Vaury
http://pastelise.blog4ever.com
La coopération est toujours aussi vivante ! Merci pour le texte et les images !
RépondreSupprimerjreponds ic jme reppelle plus comment répondre sur le mien
RépondreSupprimer(y en aura d'autres l'année 2O10 va dure pour celui ou celles qui scachent toujours derrière des banalités a crever d'ennui
rappellez moi combien d'années tout le monde blènodent sur des pauvres mots idées envies (pour peu qses mots idées envies deviennent ACTION un jour le pied non !!ceci n'est pas une question )
et j'espère ce jour là être devant ce troupeau dterriens
jamais sue dire merci a contrario je sais dire pardon alors pardon a vous et cerkita de ne pas savoir dire merci A bientot
Elisabeth Vaury
j'ai mise mon temps pour dans deux ou trois pages , pour déposer ceci ici
RépondreSupprimer___________________________________________________________
histoire d'une vie au centre des Abîmes
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Lui sous la pluie
D'un hivers sans voie
Lui qui poursuit
Son puzzle déglingué
Lui dans sa nuit
Lui qui détruit
Son ombre inachevée
voudrait voir une seule fois le soleil rejoindre la lune
mais c'est perdu
Sous le joug des terriens
Réservés aux pingouins .
A la marée sans Lune
En venant féconder
Le ventre des lagunes
et ses corps écorchés
S'immolaient aux vagues blessées
A la marée sans Lune
Sous les embruns glacés
D'une chambre fréquenter
par les miroirs autochtones
lui reste et survis
Sans doute par élégance
Peut-être par courtoisie
D'ivresse en arrogance
Merci Elisabeth, ce poème trouve parfaitement sa place ici !
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