Dans les délales vertigineux crèspusculaire de la pensée ____________________________________________________________ Dans la clarté morne et glacialeD'un ténébreux soleil d'hiverTu te blottis comme un animalSous les tôles rouillées d'une ChryslerEntre une laverie automatiqueEn train de cramer et un bunkerY a plus grand-chose de magnétiqueSur la bande son de ton flipperLes gens tristement quotidiensDans leur normalité baveuseTraînent leur futur d'euro-pingouinsAu bout d'leurs graisses albumineusesEt toi tu ne sais plus où allerDe cul de sac en voie sans issueT'as juste appris à éviterLes snippers et les tirs d'obusSous les regards torves et nighteuxDes cyborgs aux circuits moisisLes cerveaux devenus poreuxS'en retournent à la barbarieEt tu traînes tes tendres annéesD'incertitude et d'impuissanceParfois tu rêves de t'envolerDe mourir par inadvertanceDans les dédales vertigineuxEt séculaires de ta mémoireTu froisses un vieux cahier poisseuxPlein de formules d'algèbre noireA quoi peut ressembler ton spleenTon désespoir et ton chagrinVus d'une des étoiles anonymesDe la constellation du chienL'horreur est humaine, clinique et banaleEnfant de la haine, enfant de la peurL'horreur est humaine, médico-légaleEnfant de la haine, que ta joie demeure !
Te doy mis venas te doy mis manos y mi sangre, te doy mi vientre y mis ojos te doy mi alma, y el oscuro rojo de mi corazon...JTA
Dans les délales vertigineux crèspusculaire de la pensée
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Dans la clarté morne et glaciale
D'un ténébreux soleil d'hiver
Tu te blottis comme un animal
Sous les tôles rouillées d'une Chrysler
Entre une laverie automatique
En train de cramer et un bunker
Y a plus grand-chose de magnétique
Sur la bande son de ton flipper
Les gens tristement quotidiens
Dans leur normalité baveuse
Traînent leur futur d'euro-pingouins
Au bout d'leurs graisses albumineuses
Et toi tu ne sais plus où aller
De cul de sac en voie sans issue
T'as juste appris à éviter
Les snippers et les tirs d'obus
Sous les regards torves et nighteux
Des cyborgs aux circuits moisis
Les cerveaux devenus poreux
S'en retournent à la barbarie
Et tu traînes tes tendres années
D'incertitude et d'impuissance
Parfois tu rêves de t'envoler
De mourir par inadvertance
Dans les dédales vertigineux
Et séculaires de ta mémoire
Tu froisses un vieux cahier poisseux
Plein de formules d'algèbre noire
A quoi peut ressembler ton spleen
Ton désespoir et ton chagrin
Vus d'une des étoiles anonymes
De la constellation du chien
L'horreur est humaine, clinique et banale
Enfant de la haine, enfant de la peur
L'horreur est humaine, médico-légale
Enfant de la haine, que ta joie demeure !
Te doy mis venas te doy mis manos y mi sangre, te doy mi vientre y mis ojos te doy mi alma, y el oscuro rojo de mi corazon...
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