je vois pas la vidéo mais pas grave ho que oui la poèsie est maîtresse de la vie ________________________________________________ un cerf est passé et me voici a Buenos Aires
Nuestra Señora Santa Maria del Buen Ayre
Au fond de la rue je me perds
je ne vois que le contre jour de Pablo Ducrós Hicken
A Montevideo
je vais jouer la star du Tango
ou je marche sur mon ombre
de nouveau du coté sombre
je me sens comme une raclure d'un Dieu crevant par mes démons
99 jours environ je traîne dans l'incertitude de revoir Rio de Janeiro
mais c'est au coin de nul part que j'ai croisée l'infini
en prenant la porte de sortie des Bidons Villes
de villas miserias
enroulé de mon corps j'ai vue la Monserat
ou j'ai jouée avec la vendetta de Marcelo T de Avaer
j'ai nullifiée l'espoir de signer le bon contrat
j'ai jamais bien aimée les vieilles decades infâmes
mais le temps passe assez vite
a ces nouveaux gueux de la guerite Hitler et Mussolini
ont joué leurs doigts dans le sangs chauds de l'infiltration nazie
je retrouve le carrefour de la guerilla d'Antonio Dominogo Bussi
et soudain mon rêve devient alourdi
je cherche un cable a neutron
pour faire sauter les plonds de l'histoire a fausse donne
mais je crois bien que le present combustionne
toujours a la même méthadone
Tombé dans une cuve à protons
l'orgue à rédemption
a coincé dans cette vieille histoire
et les réserves d'illusions ont mis les voiles
Les militants réclament leurs croix
Pour prendre place dans le grand feu aux lois
des pages tournées de mélancolies de possession de pouvoir .
___________________________________ moi je suis tombé dans la marmite comme obelisque quand j'étais bébé (olo)
Suis pas poète et ne le serai jamais ! Je ne comprends de Gatti que sa personnalité, ses écrits me sont hermétiques. Mais la faculté d'écrire chez certains, transcende les lacunes des autres parce qu'on a le bonheur de les lire, de réfléchir, d'aller ailleurs avec eux.(espère que je n'ai pas été hermétique!!)
je voulais rajouter ça sous Gatti ________________________________________________ La poèsie l'écriture et la seule expression qui ne peut- être censuré elle n'a pas de demi -mesure dans les mots pourtant ! un poète ou (une) doit être capable de tout écrire en gardant son identité verbal propre , mais en surpassant les données que ce monde impose aux autres Arts et j'entends par ce monde (vous humains) Vous qui êtes les propres censures de vos pensées , vous cachant derrière des images des peintures , qui ne disent et qui ne parlent jamais .. ou expriment vos misérables fantasmes La poèsie est la seule expression qui ne peut pas être censuré Parceque chacun y puise son interpretation. la poèsie regarde la vraie vie des gens et exprime les faits en toute sincérité Les mots ne trichent jamais ils sont le reflet de la vie du tout a chacun , même de ceux et celles qui rêves de débauche dans un petit coin de leur esprit Ainsi est la poèsie l'écriture est le règne de la vie elle a bien compris que le sexe , la violence , le pouvoir est Maître en ce monde c'est la son charme et son secret Baudelaire disait . Avons-nous donc commis une action étrange ? Explique si tu peux mon trouble et mon effroi Je frissonne de peur quand tu me dis "Mon ange" Et cependant je sens ma bouche aller vers toi
Ne me regarde pas ainsi, toi ma pensée ! Toi que j'aime à jamais, ma sœur d'élection Quand même tu serais une embuche dressée Et le commencement de ma perdition Quand même tu serais une embuche dressée Et le commencement de ma perdition
Qui donc devant l'amour ose parler d'enfer ?
Maudit soit à jamais le rêveur inutile Qui voulut le premier, dans sa stupidité, S'éprenant d'un problème insoluble et stérile, Aux choses de l'amour mêler l'honnêteté !
Celui qui veut unir dans un accord mystique L'ombre avec la chaleur, la nuit avec le jour, Ne chauffera jamais son corps paralytique A ce rouge soleil que l'on nomme l'amour
On ne peut ici-bas contenter qu'un seul maître Mais l'enfant épanchant son immense douleur Cria soudain "Je sens s'élargir dans mon être Un abîme géant, cet abîme est mon cœur"
Brûlant comme un volcan, profond comme le vide Rien ne rassasiera ce monstre gémissant Et ne rafraîchira la soif de l'Euménide Qui, la torche à la main, le brûle jusqu'au sang
Que nos rideaux fermés nous séparent du monde Et que la lassitude amène le repos Je veux m'anéantir dans ta gorge profonde Et trouver sur ton sein la fraicheur des tombeaux
Descendez, descendez, lamentables victimes Descendez le chemin de l'enfer éternel Plongez au plus profond du gouffre où tous les crimes Flagellés par un vent qui ne vient pas du ciel
Jamais un rayon frêle n'éclaira vos cavernes Par les fentes des murs, des miasmes fiévreux Filtrent en s'enflammant ainsi que des lanternes Et pénètrent vos corps de leurs parfums affreux
C'est votre destin, à vous désormais De trier l'infini que vous portez en manteau
"Hippolyte, cher cœur, que dis tu de ces choses ? Comprends-tu maintenant qu'il ne faut pas offrir L'holocauste sacré de tes premières roses Aux souffles violents qui pourraient les flétrir ?
Hippolyte, ô ma sœur ! Tourne donc ton visage Toi, mon âme et mon cœur, mon tout et ma moitié
Tourne vers moi tes yeux pleins d'azur et d'étoiles ! Pour un de ces regards charmants, baume divin Des plaisirs plus obscurs je lèverai les voiles Et je t'endormirai dans un rêve sans fin"
LES MOTS CHANTENT LES IMAGES TROMPENT!
POURQUOI ? Parceque l'humain se trompe! ___________________________ bon voilà rooooooo lala dure dure la vie hahahahaha bonjour Michel bonne journée
je vois pas la vidéo
RépondreSupprimermais pas grave
ho que oui la poèsie
est maîtresse de la vie
________________________________________________
un cerf est passé et me voici a Buenos Aires
Nuestra Señora Santa Maria del Buen Ayre
Au fond de la rue je me perds
je ne vois que le contre jour de Pablo Ducrós Hicken
A Montevideo
je vais jouer la star du Tango
ou je marche sur mon ombre
de nouveau du coté sombre
je me sens comme une raclure d'un Dieu crevant par mes démons
99 jours environ je traîne dans l'incertitude de revoir Rio de Janeiro
mais c'est au coin de nul part que j'ai croisée l'infini
en prenant la porte de sortie des Bidons Villes
de villas miserias
enroulé de mon corps j'ai vue la Monserat
ou j'ai jouée avec la vendetta de Marcelo T de Avaer
j'ai nullifiée l'espoir de signer le bon contrat
j'ai jamais bien aimée les vieilles decades infâmes
mais le temps passe assez vite
a ces nouveaux gueux de la guerite Hitler et Mussolini
ont joué leurs doigts dans le sangs chauds de l'infiltration nazie
je retrouve le carrefour de la guerilla d'Antonio Dominogo Bussi
et soudain mon rêve devient alourdi
je cherche un cable a neutron
pour faire sauter les plonds de l'histoire a fausse donne
mais je crois bien que le present combustionne
toujours a la même méthadone
Tombé dans une cuve à protons
l'orgue à rédemption
a coincé dans cette vieille histoire
et les réserves d'illusions ont mis les voiles
Les militants réclament leurs croix
Pour prendre place dans le grand feu aux lois
des pages tournées de mélancolies de possession de pouvoir .
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moi je suis tombé dans la marmite
comme obelisque quand j'étais bébé (olo)
Suis pas poète et ne le serai jamais ! Je ne comprends de Gatti que sa personnalité, ses écrits me sont hermétiques. Mais la faculté d'écrire chez certains, transcende les lacunes des autres parce qu'on a le bonheur de les lire, de réfléchir, d'aller ailleurs avec eux.(espère que je n'ai pas été hermétique!!)
RépondreSupprimerje voulais rajouter ça sous Gatti
RépondreSupprimer________________________________________________
La poèsie l'écriture et la seule expression qui ne peut- être censuré
elle n'a pas de demi -mesure dans les mots pourtant !
un poète ou (une) doit être capable de tout écrire en gardant son identité verbal propre , mais en surpassant les données que ce monde impose aux autres Arts
et j'entends par ce monde (vous humains) Vous qui êtes les propres censures de vos pensées , vous cachant derrière des images des peintures , qui ne disent et qui ne parlent jamais ..
ou expriment vos misérables fantasmes
La poèsie est la seule expression qui ne peut pas être censuré Parceque chacun y puise son interpretation.
la poèsie regarde la vraie vie des gens et exprime les faits en toute sincérité
Les mots ne trichent jamais ils sont le reflet de la vie du tout a chacun , même de ceux et celles qui rêves de débauche dans un petit coin de leur esprit
Ainsi est la poèsie l'écriture est le règne de la vie elle a bien compris que le sexe , la violence , le pouvoir est Maître en ce monde
c'est la son charme et son secret
Baudelaire disait .
Avons-nous donc commis une action étrange ?
Explique si tu peux mon trouble et mon effroi
Je frissonne de peur quand tu me dis "Mon ange"
Et cependant je sens ma bouche aller vers toi
Ne me regarde pas ainsi, toi ma pensée !
Toi que j'aime à jamais, ma sœur d'élection
Quand même tu serais une embuche dressée
Et le commencement de ma perdition
Quand même tu serais une embuche dressée
Et le commencement de ma perdition
Qui donc devant l'amour ose parler d'enfer ?
Maudit soit à jamais le rêveur inutile
Qui voulut le premier, dans sa stupidité,
S'éprenant d'un problème insoluble et stérile,
Aux choses de l'amour mêler l'honnêteté !
Celui qui veut unir dans un accord mystique
L'ombre avec la chaleur, la nuit avec le jour,
Ne chauffera jamais son corps paralytique
A ce rouge soleil que l'on nomme l'amour
On ne peut ici-bas contenter qu'un seul maître
Mais l'enfant épanchant son immense douleur
Cria soudain "Je sens s'élargir dans mon être
Un abîme géant, cet abîme est mon cœur"
Brûlant comme un volcan, profond comme le vide
Rien ne rassasiera ce monstre gémissant
Et ne rafraîchira la soif de l'Euménide
Qui, la torche à la main, le brûle jusqu'au sang
Que nos rideaux fermés nous séparent du monde
Et que la lassitude amène le repos
Je veux m'anéantir dans ta gorge profonde
Et trouver sur ton sein la fraicheur des tombeaux
Descendez, descendez, lamentables victimes
Descendez le chemin de l'enfer éternel
Plongez au plus profond du gouffre où tous les crimes
Flagellés par un vent qui ne vient pas du ciel
Jamais un rayon frêle n'éclaira vos cavernes
Par les fentes des murs, des miasmes fiévreux
Filtrent en s'enflammant ainsi que des lanternes
Et pénètrent vos corps de leurs parfums affreux
C'est votre destin, à vous désormais
De trier l'infini que vous portez en manteau
"Hippolyte, cher cœur, que dis tu de ces choses ?
Comprends-tu maintenant qu'il ne faut pas offrir
L'holocauste sacré de tes premières roses
Aux souffles violents qui pourraient les flétrir ?
Hippolyte, ô ma sœur ! Tourne donc ton visage
Toi, mon âme et mon cœur, mon tout et ma moitié
Tourne vers moi tes yeux pleins d'azur et d'étoiles !
Pour un de ces regards charmants, baume divin
Des plaisirs plus obscurs je lèverai les voiles
Et je t'endormirai dans un rêve sans fin"
LES MOTS CHANTENT
LES IMAGES TROMPENT!
POURQUOI ?
Parceque l'humain se trompe!
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bon voilà
rooooooo lala dure dure la vie hahahahaha
bonjour Michel bonne journée