dimanche 6 décembre 2009

Alejandra Pizarnik

Alejandra Pizarnik (Buenos Aires, Argentine le 29 avril 1936 – Buenos Aires, le 25 septembre 1972)

La poétesse argentine Alejandra Pizarnik est née à Buenos Aires le 29 avril 1936 au sein d’une famille d'immigrants juifs d'Europe Centrale. Après avoir passé son baccalauréat à Avellaneda, Argentine, elle est admise en 1954 à la faculté de philosophie de l'Université de Buenos Aires. Elle abandonne ce cursus pour suivre une formation littéraire avant d'intégrer la faculté de Journalisme. Finalement, afin de trouver sa vraie voie et sans avoir achevé aucune des formations qu'elle avait entreprises, elle travaille dans l'atelier de peinture de Juan Batlle Planas.

Entre 1960 et 1964, elle séjourne à Paris où elle travaille comme pigiste pour le journal Cuadernos para la liberacion de la culture. Durant cette période, elle participe à la vie littéraire parisienne, ce qui la conduit à multiplier les rencontres d'écrivains et à se lier d'amitié avec André Pieyre de Mandiargues, Octavio Paz, Julio Cortazar et Rosa Chancel. Au cours de son séjour à Paris, elle suit également des cours à la Sorbonne. Durant les années suivantes, après être rentrée en Argentine, elle publie à Buenos Aires ses ouvrages les plus importants . En 1968, elle obtient une bourse Guggenheim et fait un bref séjour à New York et à Paris. Après deux tentatives de suicide en 1970 et 1972, elle passe les cinq derniers mois de sa vie dans l'hôpital psychiatrique "Pirovano" de Buenos Aires. Elle se donne la mort le 25 septembre 1972, à l'âge de 36 ans.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Alejandra_Pizarnik

Alejandra Pizarnik es una importante poeta de la literatura argentina. Autora de obras como "Árbol de Diana" (1962), "Los trabajos y las noches" (1965) y "El infierno musical" (1971), es además una personalidad donde se funden vida y obra.


ALEJANDRA PIZARNIK: UNA VOZ
"Cuando me muera muy pronto, si alguna vez muero, no recordarán el olor a tristeza del río, no recordarán el gusto del vino atado a la lengua, no recordarán el color de la noche en los ojos de los ahogados sino que recordarán mi voz, mis palabras que flotan como máscaras, como cáscaras vacías que nunca contuvieron nada, y recordarán mis ojos verdes que pagaron al amor el mas alto tributo y recordarán mi nombre que significó mucho para quien lo llevó como un arma en la noche de los grandes reconocimientos y del dolor sin desenlace"

Diarios AP





LA ULTIMA INOCENCIA-- montse LLEIXA- video arte- alejandra PIZARNIK



Partir
en cuerpo y alma
partir.

Partir
deshacerse de las miradas
piedras opresoras
que duermen en la garganta.

He de partir
no más inercia bajo el sol
no más sangre anonadada
no más fila para morir.

He de partir
Pero arremete ¡viajera!


http://amediavoz.com/pizarnik.htm

2 commentaires:

  1. Plus fatigué comme si elle n'avait pas d'Age , elle a preferer dire ... http://pastelise.blog4ever.com
    Passe passe le temps qui court....... SILENCE .............
    bonjour Zaz
    Dit Elisabeth dans la semi obscurité indispensable repos du guerrier
    ______________________________________________
    je suis né de la dernière pluie et je me fous des ont dit, je n' ai pas peur des aléas, je me fous du temps, qui pleuve sur moi si je brille faux je m"en fous moi je mélodise et si il m'en prend l'envie un jours je partirai sans prendre d'avis rejoindre le jardin en passant par la cour
    ps dommage je peux pas installer le dessin qui va avec

    RépondreSupprimer
  2. Amantes

    una flor
    no lejos de la noche
    mi cuerpo mudo
    se abre
    a la delicada urgencia del rocío.

    Alejandra Pizarnik

    RépondreSupprimer