Rien n'est plus sacré que cette forme sublime.
S'incliner devant un homme, c'est rendre hommage
à cette révélation de la chair. C'est le ciel que l'on touche
lorsque l'on touche un corps humain.
(Extrait de Novalis, "Fragments",
précédé de "Les disciples à Saïs"
José Corti Editeur)
D'un coup d'oeil au fond du rétro Fragments de silence
RépondreSupprimerOuatée des écrans
De contrôle-assistance
étrange face à face
Une femme , un homme
Comment faire pour briser la glace
pour que les sentiments s'abandonnent
comment donner
Ce que l'on a jamais donné?
Comment s'aimer
lorsque l' on s'est jamais aimé?
chercher sa place
entrebâiller des portes
et peut être trouver la trace
De ce frisson qui vous emporte
derrière les murs d'incertitudes lourds
il y a forcement une main doigté de velours
qui dira je veux ne serais - ce que quelques jours
déposer dans ta cour une rose rouge
en passant par le jardin de l'abandon de tes bras
mais jamais au delà
de ces ruines sur les lieux
sur le visage laiteux
de la bête à sept têtes
Faille obscure
je m engouffre en fumée
Dans la fissure
De ces nuits orageuses
Légère et vaporeuse
Le temps se coagule
Cliché désintégré
sous tes parfums orangés
c'est comme la musique suffit de balancer