vendredi 3 septembre 2010

Grete Stern

(1904 - 1999), born in Germany had to flee from the Nazis in 1935 and went to live in Argentina. She was educated in the School of Applied Arts in Stuttgart as a graphic designer and photographer, something quite unusual for a woman in those days. Among many professional activities, in 1948 she was invited to work in a woman's' magazine called "Idilio". There she would illustrate with photo montages the section called "Psychoanalysis will help you". Her work consisted of representing the dreams that the readers would submit. Grete Stern worked nearly three years on this project and produced nearly 150 pieces. In Argentina this work is considered the most important of it's kind produced there.
Music by Fripp/Summers, 'The Truth Of Skies'.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Grete_Stern


1 commentaire:

  1. Tu m'as vidé el mundo par toutes tes complaintes



    tu m'as retiré la plume et main qui la tient



    déjà me suffisait cette époque lointaine




    qui reste comme une trace mortelle




    qui ne jamais laisse mon iris sereine




    j'aimerai me dire que tout passe et est éphémère



    alors dîtes moi combien de temps dure le trajet

    pour atteindre le navire de thèsée





    et toi ma seule véritable amie Epé d'amoclèsse




    qui regne en maître au dessus de ma tête



    quand vas tu enfin definitivement m'offrir ma

    dernière plaie




    Attends tu de moi que j 'étende encore de ces rimes hautaines






    jugées souvent amères


    qui posent problème ?





    quand chez les corrompus l'aube vermeille




    la nuit en moi se reveille




    et mes tectrices prennent des ailes




    non pour étaler quelque allégresse




    mais pour accabler une socièté de sauterelle




    dans mon desert opacié je joue les spirtuelles libertaines




    mais hélàs je ne suis qu'une bête




    esclave ,tributaire de ce respect




    comme un oiseau blessé dans une cage a demi ouverte





    qui écoute sans fin les plaintes éternelles



    de ceux et celles




    j'aimerai pretendre être cet Aigle




    qui fend l'air




    mais je m'écroche a faire la grimace devant Le pauvre, le méchant, le tortu



    et l'hébété paternel

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